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lundi 9 septembre 2013

Spaces Machins

Schtroumpf à tous !

On se retrouve aujourd’hui avec le début d’une série sur les spaces marines, guerriers bien connus de l’univers de Warhammer 40 000.

Tout d’abord je précise que même si les techniques utilisées sur ces figurines sont d’un bon niveau, le résultat est très brouillon, pour deux raisons, premièrement parce que c’est l’été, et que bon voilà hein, détente avant tout, secondement parce que ce sont des petits modèles que je réalise entre deux gros projets pour me gratifier d’un travail rapide.









Le premier de la série est un Garde Sanguinien. J’ai toujours beaucoup aimé l’esthétique de cette unité, les masques mortuaires, froids, glaciaux, l’or rutilant des armures, une thématique un peu gothique sur les bords… Bref, toussatoussa. This is chouettos.













Le thème des anges est aussi très sympa, ça nous change des bourrins d’Ultramar, là c’est un peu plus aérien.
J’ai tenté de mettre au point une technique standard pour réaliser l’or, je l’ai réutilisée sur un gros projet que vous aurez très bientôt ! L’éclaircissement ultime de l’or est sans conteste l’argent, le rendu est parfait.















En revanche, je plains ceux qui se montent des armées entières, c’est très long.


















Le second barbare en céramite est un Ultramarine, un Chasseur de Tyrannides, qui est le copain de blister de celui que vous avez vu dans le duel avec Huron (quelques articles plus tôt sur ce même blog !). C’est du bon gros bourrin, bien lourd, bien monolithique. Mais bon, après tout, pourquoi pas.







Le bleu est une couleur très agréable à employer, même si je suis plus partisan des bleus plus clairs en général, ça facilite un peu les fondus, mais que diable, on peut bien fondre du noir dans du blanc si nécessaire !






J’en profite pour vous dire que cette série sur les marines de l’empereur sera suivie d’une série sur les héros du chaos, que je préfère de loin aux « gentils ». Elle comporteras sans doute Typhus, Ahriman, un seigneur du chaos, Fabius et Lucius. Tout cela, soumis bien sûr aux aléas de mon cerveau « torturé » (aux dires des gens de chez Games) et de mon porte-monnaie qui ne l’est pas moins.




Sur ce, je vous bise, et vous souhaite une bonne peinture.

Enjoy !


H’









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